« Le DM nous a posé un immense défi, avoue Barnes. C'est un excellent média individuel, mais il peut être assez polarisant. Le public n’étant pas demandeur, il y a toujours le risque qu’il soit prédisposé à jeter vos créations à la poubelle. »
« Tout le monde a vécu cela, explique-t-il. On ouvre le journal et il est plein de suppléments dont on ne veut pas. Ou un prospectus dépasse de la boîte aux lettres et vous laissez le chien jouer avec. Notre défi était, tout d’abord, d’attirer l'attention des consommateurs et, deuxièmement, de livrer notre message. »
Le ton du message était crucial, poursuit Barnes.
« Nous avons injecté une dose d'humour dans le message – parce qu’on ne prend pas toujours la vie au sérieux. On a joué avec ce concept. Il faut se rappeler que nous ne sommes que des hommes qui parlent à d'autres hommes. L'expérience doit toujours être analogique, humaine, émotionnelle. »